SEP rémittente récurrente évoluant depuis 1999
IRM médullaire : lésion hypersignal en D6
LCR inflammatoire
Mise en route d’un traitement de fond
Quels arguments étayent votre prise en charge ?
L’aggravation de symptômes préexistants. | |
La reproductibilité assez constante à chaque épisode infectieux. | |
Fluctuation dans la journée des symptômes sensitifs qui ne durent que quelques minutes. | |
La présence de phénomènes identiques à l’effort soutenu ou lors d’épisodes de grande chaleur. | |
La réversibilité en moins de 24 h. | |
L’apparition d’un nouveau symptôme dans un contexte de fatigue liée à l’état infectieux. |
L’aggravation de symptômes préexistants. | |
La reproductibilité assez constante à chaque épisode infectieux. | |
Fluctuation dans la journée des symptômes sensitifs qui ne durent que quelques minutes. | |
La présence de phénomènes identiques à l’effort soutenu ou lors d’épisodes de grande chaleur. | |
La réversibilité en moins de 24 h. | |
L’apparition d’un nouveau symptôme dans un contexte de fatigue liée à l’état infectieux. |
Le phénomène d’Uhthoff correspond à la réapparition ou l’exacerbation du symptôme antérieur ou latent à la faveur de l’exposition à la chaleur, à l’exercice ou à un épisode infectieux.
Parfois la durée peut inciter à proposer une corticothérapie pendant 3 jours, sous réserve que l’épisode infectieux soit contrôlé, avec une protection gastrique par inhibiteur de la pompe à protons, avec un hypnotique à faible dose si besoin.